Bahamas, Great Abacos, Treasure Cay

TREASURE CAY est un refuge extraordinaire pour sa petite baie protégée de n'importe lequel des vents. On y retrouve beaucoup de tranquilité, quelques accomodations, une marina, un mouillage assez grand et quelques 'moorings' (pour la plupart, réservés à l'année)

Si vous décidez de faire un arrêt à Treasure Cay, c'est une petite pause au paradi que vous ferez, surtout à cause de sa plage hallucinante ! L'eau aqua, à perte de vue, aucun corail, le sable blanc et fin nous éblouissant....



Un autre petit trésor que vous pourrez également y trouver, surtout si vous avez la chance de faire connaissance avec certaines gens habitant sur l'île, pour la plupart, des Amériains, des Canadiens ou des Européens. Tous, super accueillants et aimant partager leurs villas de rêves avec nous, les gens de bateaux, qui sommes de passage.

Nous avons fait la rencontre de Gilles et Catherine, deux Européens de Larochelle en France (nos cousins comme ils disent si bien). Nous les avons d'abord croisé sur l'île de Man-O-War d'ou ils nous ont spontanément invités chez-eux, ici à Treasure Cay.

Nous voulons vous dire merci pour votre chaleureux accueil dans votre paradis. Nous avons été charmés par votre belle présence et votre coin de planète ou il fait si bon y vivre.

L'invitation est maintenant chose officielle; lors de votre passage à Montréal avec toute votre famille, vous serez les bienvenus chez-nous pour un petit pique-nique 'blé d'inde' (dont vous ne compreniez même pas le nom) dehors à la maison. Comme vous dites: 'ça sera sympa'. On a bien rigolé.

P.S, pour nos 4 enfants et leurs petites familles: nous vous y espérons également.

Nous avons également eu cette chance de développer une belle camaraderie avec ces 4 Québecois de Longueuil, avec qui nous avons partager ce pâté de Nicole à s'en 'délecter le gosier'. Des gens absolument extraordinaires aussi.

De droite à gauche: Yvon, Nicole du 'Zennith', Richard, Linda du 'Rigalio'... et Carole qui s'égosille pour la photo afin que tout ce beau monde dise ensemble: 'sexe'...

Des gens super qui viennent passer leur hiver ici dans les Bahamas, pour la 3e année et cette année, ils nous ont confié qu'ils découvraient les Abacos avec grand plaisir pour la première fois.

Nous les avions croisés,eux, à Hatchett Bay, Alice Town dans l'Eleuthera auparavent.

A bientôt les amis, on espère bien !

Nous voila, cet P.M-là, à nouveau sur une autre des plus belles plages au monde. Défitivement en bateau aux Bahamas, il n'y a rien de mieux. Surtout quand on y réfléchi de plus près, nous sommes dans l'hôtel ou la villa la moins dispendieuse au monde puisque les mouillages, c'est gratuit et que nous pouvons profiter très facilement de toutes ces beautés. N'est-ce-pas extraordinaire ?

Nous vous présentons Gilles, directement de Larochelle en France mais vivant le plus souvent possible dans sa villa à Treasure Cay ou il laisse aller son talent dans les arts déco. Gilles, écrivain de métier, se réfugie ici avec sa charmante conjointe Catherine qui vient le rejoindre le plus longtemps et le plus souvent possible , chaque fois que son travail le lui permet.

Gilles a deux traversées de l'Atlantic en catamaran (53 pieds) à son actif. Il est également un bon capitaine et une bonne oreille pour notre aventure à nous du Great Loop. Il le fera peut-être un jour

Il crée de magnifiques oeuvres d'art de toutes sortes mais celui qui nous a charmé le plus: des petits bateaux qu'il peint et qu'il fabrique avec les branches des cocotiers. Mais pas n'importe laquelle des branches: Catherine et lui nous ont expliqué que chaque cocotier avait des branches mâles et femelles. Les branches mâle sont celles qui l'on voit recouvrant les branches femelles qui, elles ,produisent les cocos, ainsi, les protégant. N'est-ce-pas bien fait cette nature ? Alors, notre ami Gilles crée ses petits bateaux avec les branches mâles seulement.

Si vous passez par là, et que cela vous tente de voir sa collection, vous n'avez qu'à demander 'the French guy Gilles in Beach Villas', tout le monde le connaît. Il se fera certainement un plaisir de vous réserver le même accueuil chaleureux qu'à nous, qui l'avons rencontré par hasard sur une autre île.

Car dans les Abacos, il suffit de se déplacer d'une île à l'autre, c'est très facile, le temps de 7, 8 ou 10 miles de distance. Même en voilier, tout est proche.

Toutefois, je reviens toujours avec ce mot: 'immensité' . Tout est relatif lorsque je parle de 'proche' ... mais enfin, c'est toujours facile de se déplacer dans les Abacos et surtout on y retrouve toujours un endroit protégé des vents.