lundi 26 avril 2010

Bahamas, Little Abaco, Allan's-Pensacola Cays. (Ile déserte au paradis)


Nous sommes à quelques jours d'une autre grande traversée en mer. Une autre étape également; celle du printemps (retour vers les U.S.A) (environ 85 miles de traversée).
On profite au maximum des derniers jours dans les Bahamas avant d'arriver à la maison (encore environ 1,800 miles). Fort heureusement! car il paraît que la côte est de la Floride est magnifique ! Nous n'avons encore rien vu de la Caroline du sud et du nord, de la Georgie, Virginie et j'en passe.
Restez avec nous, je crois que nous avons encore de belles aventures à vous partager. Pour le moment, les Bahamas nous comblent encore et encore...

On peut dire que tout au long de notre merveilleux périple, nous avons vu et profité du meilleur et ce, malgré notre petit malheur de Suwannee River, maintenant, loin, très loin derrière nous.
On peut dire, Michel et moi, qu'on a adoré toutes ces rivières, toute cette côte ouest de la Floride avec ses villes de pêcheurs et ses éponges, ses accents et ses bayous. On peut dire que nous sommes enchantés de cette belle Louisiane dont nous sommes complètement amoureux... mais...

Définitivement, notre grand coup de coeur: Les Bahamas au complet! avec un petit aveu, Abaco, un gros penchant....Dans mon livre j'expliquerai la différence entre chaque région ou nous nous sommes arrêtés et pourquoi on a aimé chacune d'entre elles. Ici, c'est un peu trop long.

De nouveau, nous débarquons sur une île déserte directement au paradis !

Une autre fois, Michel partiera à la pêche (comme il aime tant) et Carole se retrouvera toute seule avec elle-même sur une autre de ces fabuleuses plages perdues dans l'océan.

Que c'est 'dur, dur' cette solitude...

Je crois que vous avez deviné que j'aime bien ça 'ma bulle'... dans des endroits ressemblant au paradis comme ça.

Dans des moments pareils; je pense à tous ceux que j'aime, notre famille et nos amis, surtout à vous , nos enfants et nos petits-enfants, et au lieu de m'ennuyer, je choisis de déguster tous ces moments magiques pour mieux vous 'avoir à moi' à notre retour.

Je sais que Michel, de l'autre côté des rochers là-bas, pense la même chose, (seul avec lui même) et (avec les poissons).
Je l'entends même penser: 'c'est ça que je me dis aussi.'

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